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 Laurie Kendall ; « je viens de la grande classe, de la haute couture… »

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Laureen McGowan

Laureen McGowan


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Laurie Kendall ; « je viens de la grande classe, de la haute couture… » Empty
MessageSujet: Laurie Kendall ; « je viens de la grande classe, de la haute couture… »   Laurie Kendall ; « je viens de la grande classe, de la haute couture… » Icon_minitime1Jeu 14 Jan - 17:32

« Je viens de La Grande Classe,
De la haute-couture
Ma mère a comme un masque
Cousu sur sa figure
Je cherche son regard
Y a plus que ça qui bouge
Elle r'ssemble a un canard
Au bec enflé, tout rouge

Je viens de cette femme
Qui va se faire refaire
Et qui plus elle s'acharne
Et plus elle dégénère
Et elle se couvre l'âge
À grands manteaux Chanel
À trop de maquillage
Pour tenter d'être belle

Je viens d'un luxe fou
Et de soirées qui dansent
Mon père a des gros sous
Que ma mère dépense
En coupes de champagne
Et en liposuccions
Je viens de cette femme
Comme en rénovation

Je viens d'un couple froid
D'un couple malheureux
Je viens de ce papa
Qui s'fait planter des ch'veux
Y r'ssemble à une poupée
Qu'on achète pas cher
Le crâne clairsemé
Y r'ssemble à ma grand-mère

Je viens de cette femme
Au décolleté profond
Qui dévoile des charmes
Qui valent un tas d'pognon
C'est bien évident qu'elle
S'habille à ras l'mamelon
Puisque ses chères mamelles
Jouissent d'augmentation

Elle va pas s' contenter
D'un seul homme qui les mate
Au prix qu'ils ont coûté
Aussi bien qu'on les tâte !
Je viens d'un homme jaloux
D'un homme qui se venge
D'un couple qui s'en fout
De c'est qui qui me change

Moi, je n'ai que vingt ans
C't assez pour avoir honte
Assez pour être grand
Assez pour me rendre compte
Que mes parents sont fous
Et qu'ils sont pas fidèles
Que ma mère est pas belle
Et que papa bande mou

Je viens d'un mauvais coup
Et je suis dans la merde
Et c'est bien la nounou
Qui m'est venu en aide
Je viens de La Grande Classe
J'y apprends la tristesse
J'envie les classes basses
Et les cours de tendresse. »


Feat "Ryan Cooper"
Laurie Kendall ; « je viens de la grande classe, de la haute couture… » Laurie10
(c) pow

_« LAURIE KENDALL »_

      _____ This is who I am _____

    Nom ; Je fais partie du richissime clan Kendall.
    Prénom(s) ; Je m’appelle Laurence Matthew Jude.
    Surnom(s) ; Depuis que je suis gosse, on m’appelle Laurie, à cause du personnage préféré de ma mère dans les quatre poufs du docteur March.
    Âge ; Je viens de fêter mes 20 ans. Dans les Bahamas s’il vous plait ! T’étais pas invité, tocard ?
    Nationalité ; Je suis tout ce qu’il y a de plus américain. Un pur produit made in L.A.
    Groupe ; Aux dernières nouvelles, je suis encore aux études.
    Statut et activité dans la vie ; Outre le fait que je sois un putain de fils à papa, milliardaire s’il vous plaît, je suis actuellement étudiant à la Colombia University où j’y étudie la médecine. Je suis célibataire, hélas.
    Orientation sexuelle ; Je préfère de loin les garçons… si possible les mauvais garçons ! Les très très très mauvais garçons !

    _____ Wanna know more ? _____

Histoire ;
C’est à Los Angeles que je suis né et que j’ai grandis, dans un milieu très aisé. Pour te donner un ordre d’idée, j’ai déjà été joué dans le jardin de Spielberg et Madonna m’a déjà chantée une chanson pour mon anniversaire. Mon père est William Kendall, la quatrième plus grande fortune mondiale selon le très célèbre magazine Forbes. C’est un milliardaire. Le style de milliardaire à polluer la planète avec ses entreprises situées aux quatre coins du globe. Je dois avouer que je ne sais pas trop l’étendue de ses activités. Même si je détiens des actions des entreprises Kendall, j’évite le plus souvent de mettre le nez dans ces choses-là. D’abord parce que je ne les comprendrais pas, et ensuite parce que je m’en tamponne sérieusement. Je me contente de récolter l’argent qui m’est dû et de temps en temps de voter comme mon père et mes frères lors des conseils administratifs au siège de la compagnie. Tu l’auras compris ; je suis riche, très riche, immensément riche.

Avec autant d’argent, tout porte à croire que j’eus une enfance féerique, mais ce ne fut pas le cas. Ok, je n’ai jamais manqué de rien mais en contrepartie, je fus privé de mes parents. Mon père était toujours occupé par ses affaires et ma mère, cette poupée siliconée et refaite de partout, passait le plus clair de son temps à courir les boutiques et à fuir la vieillesse. Ce fut Lupita, notre nourrisse mexicaine qui veilla à notre éducation. Même si nous n’étions pas des anges, nous respections beaucoup notre petite Lupita qui ne cessait de se plier en quatre pour combler chacun de nos besoins. Elle alla même jusqu’à passer un Noël avec nous plutôt qu’avec ses propres enfants.

Ce fut dans des établissements scolaires privés et prestigieux que mes frères et moi étudiâmes. Michael, mon frère aîné marcha très vite sur les traces de mon père. La relève était assurée, et cela à mon grand soulagement. Je pouvais donc paresser et me laisser vivre sans chercher à devoir briller pour un jour reprendre la tête des entreprises Kendall. A l’adolescence, j’eus mes premiers émois amoureux. Mon premier flirt avec un gars de ma classe me conduisit directement en exil à New York. En effet, alors qu’on se roulait des pelles avec Dylan dans la piscine un après-midi, mon père rentra (comme par hasard) plutôt du travail et nous surpris. Il en fit une maladie et pour m’éloigner de ce garçon aux mœurs perverses, il m’envoya illico presto chez ma marraine, à Manhattan. Ce fut la plus belle punition de ma vie car ma marraine est… comment vous dire… excentrique. Elle est un mélange de Samantha Jones de Sex in the city et de Sandra Bullock dans Miss Détective. C’est une véritable déglingo !

Depuis que j’ai 15 ans, je vis donc à New York. Marraine me laisse faire ce que je veux. Elle n’est pas du style à chercher à me brider, que du contraire. Me savoir gay ne la dérange absolument pas. Dans le fond, je pense que mon père non plus ça ne le dérange plus, j’en veux pour preuve cette étrange réunion de famille l’an passé où il m’a présenté le fils d’un de ses associés, un gay de chez PDland. Je ne sais pas ce qu’il avait derrière la tête, mais je refuse de jouer à touche-pipi avec un petit bourgeois tout propre sur lui ! Car ouais, à force de vivre à New York je me suis découvert un fort penchant pour les mauvais garçons. J’en suis d’ailleurs un… mais à gueule d’ange. Je ne l’avouerais jamais à personne, mais l’accident sur le toit lors de cette manifestation il y a 3 ans… ce n’en était pas un. Je l’ai poussé ce sale flic. Pourquoi j’ai fais ça ? J’en sais rien. L’adrénaline. L’action. L’effet de foule. Tout le monde gueulait. Tout le monde criait. Ça s’agitait dans tous les sens. Et puis ce flic… ce flic semblait si con. Je l’ai poussé. Il est tombé. Et il est mort.

Aujourd’hui, je suis étudiant en médecine à la Columbia. Je vis toujours chez ma marraine et je retourne quelques fois par année à Los Angeles faire coucou à mes proches… quand ce n’est pas eux qui passent par la grosse pomme. J’ai la vie facile, ouais… mais je m’y emmerde de plus en plus dans ma petite vie de gosse de riche. Si le ciel pouvait m’envoyer un peu d’action, ça me ferait tellement plaisir !


Relations ;
Bien que je sois issu d’une famille immensément riche dans laquelle il soit possible de se torcher le cul avec des liasses de billets verts, j’ai grandi dans un milieu très pauvre niveau affection parentale. En voyage le plus souvent, mes parents laissèrent l’éducation de leurs mioches aux bons soins de Lupita, notre nourrisse qui fut pour nous une mère de substitution. De toute ma famille, je ne suis réellement proche que de ma marraine (la sœur de mon père) chez qui je vis à New York. Ce n'est pas que je n'aime pas mes parents, j'ai juste appris à ne jamais compter sur eux car ils déçoivent le plus souvent. A part leurs argents dont ils ne sont jamais avare, il n'y a rien à attendre d'eux.

Souvent entouré de petits aristocrates, je n’ai pas la chance d’avoir beaucoup d’amis proches et sincères. Ces derniers ne se comptent uniquement que sur les doigts d’une seule main. Lorsque l’on est riche à milliards, il est difficile de savoir si les gens sont vraiment sincères avec vous. J’ai appris très tôt à me méfier des autres et à faire le tri entre les bouffons destinés à me divertir et les amis à qui je peux faire confiance. D’un point de vue sentimental, je n’ai jamais eut de relations sérieuses. Non pas que je n’en veux pas mais les mecs ont très vite tendance à me trouver insupportable. Je passe donc de petit ami en petit ami au gré de mes envies assez changeantes il faut l’avouer. Je suis quelqu’un qui cède facilement à l’appelle de la luxure et qui n’a aucun remord à briser les couples. J’aime particulièrement les interdits, comme celui de m’envoyer en l’air avec un professeur, un associer à mon père, son avocat ou tout simplement un garde du corps (mes préférés !). Enfin, j’ai un énorme penchant pour les mauvais garçons. Avec eux, la vie est bien plus palpitante !


Physique ;
Le moins que l’on puisse dire, c’est que je suis un beau gosse. Ouais, c’est prétentieux de ma part de le dire ainsi, mais je pense que je suis loin d’être un laideron. J’ai les yeux marron, les cheveux bruns coupés court mais assez long pour être coiffés avec style, et un sourire de dents blanches et égales. Je m’enorgueillis de savoir que je n’ai absolument aucune carie. Ma petite gueule d’ange inspire le plus souvent la confiance et mon petit cul éveille les convoitises. Dans le milieu gay, je suis considéré comme un minet, le genre de gars dont raffolent les gros actifs bien basés. Grand d’un mètre 80, je pèse dans les 60 kilos. Je fais pas mal de sport, ce qui explique mon ventre plat, mes tablettes de chocolat et mes hanches plutôt fines. Je suis imberbe naturellement. Je possède un tatouage au poignet droit (un ouroboros) et un autre dans la nuque (le symbole hindou Om), ainsi qu'un piercing sur la langue. D’un point de vue vestimentaire, je m’habille comme un jeune de mon époque, bien que mes vêtements soit tous de marque. J’aime les jeans, les Converses et je porte le plus souvent des pulls ou des sweat à tirette.


Caractère ;
Dans la vie de tous les jours, je pense être quelqu’un d’assez agréable à fréquenter, même si j’ai tendance à bouder facilement. Je ris souvent et je prendre pas mal de chose à la légère. Un peu baba-cool, j’aime traîner avec mes rares copains, glander à moitié à poil le week-end, faire du roller à Central Park et dessiner. Même si je démarre au quart de tour et que je m’emporte facilement, je redescends très vite de mes grands chevaux. Il faut juste me brosser dans le sens du poil et je ronronne à nouveau. Je ne pense pas être quelqu’un de rancunier, bien que si on me fait une crasse, je sois prompt à la vengeance. Faire pleurer ou humilier quelqu’un en public ne me pose aucun problème. Je frappe toujours là où ça fait mal. Je suis capable de dire des choses qui peuvent blesser et aller jusqu’à révéler des secrets honteux. J’ai même parfois tendance à être de mauvaise foi. Bien sûr, je ne franchis ces limites que lorsque je suis blessé à mon tour.

Depuis des années, l’ennui me tiraille. J’ai toujours eu ce que je désirais. Toujours. Alors forcément, j’ai tout, et je m’emmerde royalement dans la vie. Pour combler ce vide, je me suis inventé un petit jeu assez marrant, mon fameux « distrait-moi ». En échange d’argent, fait ce que je te dis. Saute. Fais la roue. Soulèves ta jupe. Tu n’imagines pas ce que les gens sont capables de faire pour un peu de pognon. Dans ce jeu, je n’ai que très peu de limites. Je me délecte d’avoir un tel pouvoir sur les autres. J’aime tellement ça que je me suis découvert depuis quelques années un penchant pour la violence. Moi je n’attaque pas, hein ! Je suis un ange, je la regarde. Je laisse les autres faire le sale boulot à ma place. Je me contente de me délecter de ce spectacle offert par deux charmants jeunes hommes se tapant sur la gueule par exemple, ou sur la gueule d’une pauvre âme innocente… et tout ça pour un peu de blé. Trouve moi malsain si tu veux, mais l’idée qu’un type armé ou ayant du sang sur les mains me culbute me rend dingue. J’aime le danger. J’aime l’adrénaline. J’aime les interdits. J’aime être en présence de malfrats, voir même d’assassins. C’est mon trip les bad boys et je ne m’en excuserais jamais ! Avec ce genre de gars, je suis du style à le pousser à aller en tabasser un autre rien que pour l’admirer dans toute sa masculinité. Oh ouais, t’imagine pas combien j’aime les cabossés ! T’imagines pas combien ça m’excite de voir mon mec en rétamer un autre pour mes beaux yeux !

Ouais, mon statut de gosse de riche me donne un sentiment d’impunité justifié ! Mon compte en banque déborde. Je peux me payer tout et n’importe quoi… jusqu’à ma liberté. Je suis un petit manipulateur, un hypocrite, un gros prétentieux et un sale menteur. J’assume jouer de ma petite gueule d’ange et ronronner pour atténuer la méfiance ou attirer la sympathie. Je mens et je manipule encore et encore avec facilité mon entourage, surtout mes parents qui préfèrent sortir le cash plutôt que de passer un Noël en famille.

Enfin, malgré tout cela, je reste quand même quelqu’un de gentil à la base. Je ne fais mon démon que pour me distraire ! J’ai reçu une bonne éducation, tu sais, et je suis plutôt poli et accessible avec les étrangers. Je sais mettre les gens facilement à l’aise et on dit de moi que je suis une vraie pipelette. Y a toujours moyens de discuter… surtout si t’es un vilain garçon !


Définition de l'enfer pour le personnage ;
Crainte commune à tous les gosses de riches, je pense que perdre ma fortune serait un réel coup dur pour moi. J’aime mon statut social. J’aime vivre dans le luxe. J’aime me dire que je dors dans une suite à 5000 dollars la nuit et j’aime donner des ordres à mes domestiques ! Oui, j’aime la fortune des Kendall et tout perdre serait pour moi l’enfer !


Définition du paradis pour le personnage ;
Que peut bien désirer quelqu’un qui possède déjà tout ? Je possède un compte en banque dépassant les 6 zéros, j’ai plusieurs voitures, un cheval, un bateau, des appartements un peu partout dans le monde, des parts de la société familiale… J’ai tout pour être heureux… et pourtant ! S’il me manque quelque chose, je pense que ce serait le grand amour. L’âme sœur quoi ! Le mec assez costaud pour arriver à me supporter. Le roc sur lequel me reposer. Mon Rambo ! Viril si possible merci !


Taux de criminalité et pourquoi ;
10% à 15% ; Et ce n'est pas ma faute !
- Homicide involontaire : A 17 ans, j’ai commis un homicide involontaire (?!?). Lors d’une manifestation, j’ai bousculé sans le vouloir (Menteur ! Il l’a poussé !) un flic du haut d’un immeuble. Grâce à la fortune et aux relations Kendall, je fus acquitté. Je suis donc innocent !
- Stationnement interdit : « Ce n’est pas le parking monsieur Kendall, c’est la pelouse. »
« Et alors ? Il était marqué interdit de marcher, pas interdit de se garer que je sache ! »
J’ai tendance à garer ma voiture n’importe où à Manhattan. Qu’importe les contraventions ! Je suis le roi du stationnement interdit.
- Distrait-moi : j’ai déjà (et je continue mon petit jeu) payé deux clochards pour qu’ils s’en foutent plein la gueule devant moi. Ce fut un spectacle très distrayant ! Dommage que les clodos n’étaient pas beaux garçons… J’ai également payé deux hétéros pour qu’ils se roulent une pelle à l’université, et exigé qu’une mendiante s’agenouille devant moi et me supplie de lui donner 1000 dollars. Pour 2000 elle devait faire la truie… et elle l’a fait ! Oui, je m’emmerde alors je paye d'honnêtes citoyens pour faire tout et n'importe quoi, histoire de me divertir un peu comme de bons bouffons !

    _____ Behind the screen ? A player ! _____


Prénom ou pseudo ; Shu
Âge ; La 20aine
Votre avis sur New York - The Dark Side ; Plutôt bon.
Où avez-vous connu le forum ; C’est un retour.
Niveau de RP ; Du minimum syndical à plus d’une 50aine.
Exemple de RP ;
Spoiler:

Connexion ; 4/7
Code du règlement ;
Spoiler:
Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON
Célébrité sur l'avatar ; Ryan Cooper
Multicompte(s) ; Aucun
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https://lesgermesdumal.superforum.fr
 
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